• Nationale

  • En cours d'étude

Adaptation du logement

  • Bien vieillir

  • Adapter la société au vieillissement

Description de la contribution

« Souvent c’est la famille, les bénévoles ou les aidants qui s’en occupent »
- Evolution culturelle avec les générations précédentes, avec une nouvelle structuration de la famille qui a pour conséquence une hausse du risque d’isolement social, y compris en milieu rural où on pouvait avoir jusqu’à 4 générations sous le même toit.
- Les personnes âgées souhaitent vivre dans des lieux intergénérationnels mais aussi pouvoir réaliser des activités entre personnes âgées.
- Paradoxe entre vivre chez soi (repère) et la nécessité de changer de lieu de vie (étapes à franchir par paliers) : aspect
psychologique du projet de vie qu’il convient d’accompagner en prenant le temps d’écouter la personne (sentiment d’incompréhension)
- Le rendez-vous retraite nécessite d’être adapté (et accueillir les personnes avec leurs proches). D’une part il intervient
trop tôt avec un effet contre-productif. D’autre part il est trop tardif quant à la question de l’aménagement du logement
qui doit être anticipée et ancrée culturellement. Il faut trouver le bon âge, en structurant des étapes, avec :
o Une sensibilisation, une anticipation des possibilités,
o Une prise de conscience, une préparation progressive et programmée.
- Les participants identifient le moment du passage à la retraite comme opportun pour sensibiliser à cette offre et les ateliers
« Bienvenue à la retraite » comme un dispositif utile.

« Sensibiliser sur la possibilité de travaux mais aussi sur l’offre de petits équipements pour prévenir les chutes par exemple »

« Qui contacter ? »
- Un accès à l’information est plébiscité, qui pourrait se traduire par la mise en place d’un guichet unique en direction des personnes et de leurs aidants, avec un accompagnement. Ce guichet unique serait également nécessaire en direction
des professionnels pour assurer une coordination entre les professionnels (ergothérapeute, service d’aide à domicile,
etc.) mais aussi une connaissance entre les acteurs.
- La question de l’effecteur se pose, et notamment de la confiance et de la protection contre les arnaques et abus. Une
labellisation et formation des intervenants est une piste évoquée.
- Les personnes souhaitent avoir le même interlocuteur pour l’ensemble des travaux, du devis à la fin des travaux.
- La démarche d’aller vers en direction des personnes isolées se pose, et constitue un nouveau paradigme des
politiques sociales.